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mardi 30 octobre 2012
dimanche 28 octobre 2012
Presque chanson - De la ville on voit pas les étoiles
Sous un ciel bleu mais pollué
Je me ballade dans la fumée
A Paname
Je prends mon temps tout à l'inverse
De ces abrutis qui se pressent
Et qui rament
Puis je me pose sur un banc
Je tire une taf, tranquillement
Et j'me marre
En voyant c'type qui presse le pas
Qui regarde sa montre, il est déjà
En retard
Et j'en vois passer des centaines
Les yeux dans l'vague, le visage blême
Ou qui râlent
Car qui vit ici apprendra
Que de la ville on ne voit pas
Les étoiles
Sous un ciel bleu, oui, mais bleu moche
Je me promène, main dans les poches
L'esprit libre
Je commande une bière en terrasse
Et je regarde les jupes qui passent
Je veux vivre
Un quarantenaire sort du boulot
Content de quitter son bureau
Pour un soir
Mais dès demain c'est repartit
Alors dans son cœur il se dit
Y'en a marre
Il rêve de s'enfuir, tout quitter
Ne plus courir, se reposer
C'est vital
Mais dans sa merde il restera
Car de la ville on ne voit pas
Les étoiles
Et sous un ciel bleu, enfin j'crois
J'm'en vais retrouver mon chez moi
Et je rêve
Je lève les yeux, quelle infortune
Je ne distingue que la lune
Qui se lève
Je m'fiche qu'les étoiles soient planquées
Derrière un écran de fumée
Car je sais
Que c'est dans l'art et dans la joie
L'amour et les potes que l'on doit
Les chercher
Ne vous laissez pas embarquer
Dans cette foutue société
Carcérale
Car pour ceux qui savent s'évader
Le ciel sera à jamais
Plein d'étoiles
Je me ballade dans la fumée
A Paname
Je prends mon temps tout à l'inverse
De ces abrutis qui se pressent
Et qui rament
Puis je me pose sur un banc
Je tire une taf, tranquillement
Et j'me marre
En voyant c'type qui presse le pas
Qui regarde sa montre, il est déjà
En retard
Et j'en vois passer des centaines
Les yeux dans l'vague, le visage blême
Ou qui râlent
Car qui vit ici apprendra
Que de la ville on ne voit pas
Les étoiles
Sous un ciel bleu, oui, mais bleu moche
Je me promène, main dans les poches
L'esprit libre
Je commande une bière en terrasse
Et je regarde les jupes qui passent
Je veux vivre
Un quarantenaire sort du boulot
Content de quitter son bureau
Pour un soir
Mais dès demain c'est repartit
Alors dans son cœur il se dit
Y'en a marre
Il rêve de s'enfuir, tout quitter
Ne plus courir, se reposer
C'est vital
Mais dans sa merde il restera
Car de la ville on ne voit pas
Les étoiles
Et sous un ciel bleu, enfin j'crois
J'm'en vais retrouver mon chez moi
Et je rêve
Je lève les yeux, quelle infortune
Je ne distingue que la lune
Qui se lève
Je m'fiche qu'les étoiles soient planquées
Derrière un écran de fumée
Car je sais
Que c'est dans l'art et dans la joie
L'amour et les potes que l'on doit
Les chercher
Ne vous laissez pas embarquer
Dans cette foutue société
Carcérale
Car pour ceux qui savent s'évader
Le ciel sera à jamais
Plein d'étoiles
jeudi 25 octobre 2012
mardi 23 octobre 2012
Presque chanson - Mon p'tit black
Il a surgit dans ma vie
M'a sortit de mon ennui
Moi qui me sentais si seul
Qui tremblais comme une feuille
Qui voulais être écouté
Qui voulais pouvoir pleurer
Il a mit un p'tit pansement
Sur mon cœur d'adolescent
Mon p'tit black...
C'était pas bien compliqué
Il a fait que m'écouter
Me regarder fixement
Un câlin de temps en temps
Il m'a fait me sentir roi
Il a fait rev'nir ma joie
Il a adoucit mes nuits
Quand il partageait mon lit
Mon p'tit black...
Il adore m'entendre causer
Il connait tous mes secrets
Quand y voit que ça va pas
Il se serre tout contre moi
Et soudain tout s'illumine
Adieu mon humeur chagrine
Il a su sécher mes larmes
Il m'a fait poser les armes
Mon p'tit black...
Oui mais le temps à passé
Et les choses ont bien changées
Il reste dehors le soir
Je peux pas lui en vouloir
Même quand ce petit coquin
Passe son temps chez les voisins
Tant que j'ai une place de choix
Dans le petit cœur de chat
De mon p'tit black...
Mon p'tit black...
Mon p'tit black...
M'a sortit de mon ennui
Moi qui me sentais si seul
Qui tremblais comme une feuille
Qui voulais être écouté
Qui voulais pouvoir pleurer
Il a mit un p'tit pansement
Sur mon cœur d'adolescent
Mon p'tit black...
C'était pas bien compliqué
Il a fait que m'écouter
Me regarder fixement
Un câlin de temps en temps
Il m'a fait me sentir roi
Il a fait rev'nir ma joie
Il a adoucit mes nuits
Quand il partageait mon lit
Mon p'tit black...
Il adore m'entendre causer
Il connait tous mes secrets
Quand y voit que ça va pas
Il se serre tout contre moi
Et soudain tout s'illumine
Adieu mon humeur chagrine
Il a su sécher mes larmes
Il m'a fait poser les armes
Mon p'tit black...
Oui mais le temps à passé
Et les choses ont bien changées
Il reste dehors le soir
Je peux pas lui en vouloir
Même quand ce petit coquin
Passe son temps chez les voisins
Tant que j'ai une place de choix
Dans le petit cœur de chat
De mon p'tit black...
Mon p'tit black...
Mon p'tit black...
Presque chanson - Quand j'srai grand j'srai un loubard
Moi quand j'srai grand, j'srai un
loubard
Un vrai voyou, un blouson noir
Sauf qu'un blouson moi j'en ai pas
A la place j'ai un long manteau
Il est en cuir, c'est déjà ça
Même qu'il est noir, même qu'il est
beau
C'est pas grave ça m'rendra unique
J'srai un loubard... sympathisant
gothique
Moi quand j'srai grand, j'srai un
loubard
Un vrai voyou, un vrai motard
Sauf qu'une moto moi j'en ai pas
D'ailleurs j'ai pas non plus d'permis
Mais pour quoi faire tu m'diras
Y'a le métro dans tout Paris
Et tant pis si j'ai l'air d'un con
J'srai un loubard... sympathisant
piéton
Moi quand j'srai grand, j'srai un
loubard
Un vrai voyou, un vrai anar
Enfin l'anarchisme en même temps
Même si c'est l'plus bel idéal
A cause de la connerie des grands
Je crois qu'en fait ça marche que
dalle
Même si j'ai un cœur d'anarchiste
J'srai un loubar... sympathisant
gauchiste
Moi quand j'srai grand, j'srai un
loubard
Un vrai voyou, qu'aime les bagarres
Mais enfin bon moi les bras d'fer
Et la baston, j'aime pas trop ça
J'suis contre la loi du plus fort
Parce qu'en général, c'est pas moi
Sans doute que je suis trop gentil
J'srai un loubard... sympathisant
hippie
Moi quand j'srai grand, j'srai un
loubard
Et tant pis pour les conventions
Je sens cette flamme dans mon cœur
J'ai envie d'gueuler « mort aux cons »
Quand je s'rai grand j'srai insoumis
Allez maman... je t'en prie, dis oui !
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