De maladroitement feindre d’être commune
Lors que tous vos attraits témoignent la fortune
Que vous firent les dieux qui vous ont modelés
Détestable arrogance d’oser déambuler
Fâcheuse délectable, délicieuse importune
Déchirant le décor sans compassion aucune
Pour les yeux et les cœurs que vous pourriez blesser
Quel culot fût le vôtre en me voyant pâlir
Tout en vous permettant d’y semer le désir
De passer dans ma vie sans vous y arrêter
Et quel affront, enfin, vous me fîtes subir
Gardant la tête haute, sans daigner en rougir
De bousculer mon âme sans vous en excuser
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